Bin voyons! Ce n'est qu'une histoire, vous me direz. Peut-être pour certains. Pour ma part, le message a résonné fort et il s'est introduit au cœur de ma vie: «exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être».
Parfois, j'oublie d'être ce que je veux être. J'oublie que je suis libre. Dans ces moment là, j'ai peur, je suis triste, je ne sais plus d'où je viens ni où je vais...
Heureusement, ça ne dure jamais longtemps. Surtout l'été, il y a des goélands partout pour me ramener à l'ordre! C'est drôle, cette expression. Me ramener à l'ordre dans ma liberté d'être celle que je suis...
Bref, à voir le nombre de goélands qui s'étaient rassemblés pour me faire comprendre le message ce matin (j'aime bien me dire qu'ils étaient là pour moi!), je crois qu'il est grand temps de prendre mon envol.
Prête, pas prête, j'y suis!
Véronique votre texte m'interpelle. Je suis une fan pour ainsi dire inconditionnelle de Richard Bach.
RépondreEffacerEn 1978 lors de la sortie de Jonathan Livingston le Goéland, je suis demeurée sur mon siège de la salle de cinéma pour le revoir une deuxième fois. Et depuis ce temps, je l'ai écouté encore et encore. Passer d'aussi grands messages de si belle manière sans aucun humain à part à la narration, quelle innovation il y a 40 ans!
...«exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être».
Comme vous parfois j'oublie que je suis libre et je ressemble aux membres du clan qui croient qu'ainsi va leur vie certes ailée mais si limitée.
Un état qui dure de moins en moins longtemps car cette citation est un rappel que j'ai totalement le droit et le devoir de me recréer sans cesse en tant que libre esprit cheminant dans l'Amour pour le plus grand bien de tous et du Tout.
Vous lire maintenant me donne envie de revoir encore le film et d'écouter la trame sonore par Neil Diamond, merci!!
Merci d'avoir pris le temps de me lire et de m'écrire, Huguette. Votre message me fait du bien et, n'ayant jamais vu le film, vous m'en donnez le goût. Ce sera un plaisir pour moi de découvrir ce chef-d'oeuvre avec mes yeux et mes oreilles!
RépondreEffacerMerci! En fin de vie, je faisais la lecture de ce livre à ma maman, je crois que cette histoire apaisait son angoisse de devoir partir... Lui donnait espoir pour l'après.
RépondreEffacerMerci à vous aussi, Sophie, pour votre maman... C'est une histoire qui inspire la paix en soi, en effet.
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